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Commentaires à propos du tome 27

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En occident

J’ai rapporté assez fidèlement la prise de pouvoir d’Henri en Angleterre et le début de son règne. Aliénor mit au monde ses premiers enfants avec lui, et elle séjourna le plus souvent en Angleterre à cette époque. Astralab fut bien inquiété suite à la mort à Nantes de Geoffroy, le frère d’Henri Plantagenêt, il trouva refuge dans l’abbaye bourguignonne que je cite dans la saga. Louis de son côté, se remaria avec Constance de Castille. J’ai décrit son pèlerinage à Compostelle et les gens qu’il y rencontra en Espagne avec exactitude. La naissance d’une fille fut une déception pour le roi, j’ai toutefois inventé les mesures radicales que je lui fais envisager pour obtenir des garçons, mais cela nous a permis de visiter les croyances de l’époque. J’ai décrit un accouchement laborieux pour Constance, ce qui n’est pas rapporté par les chroniqueurs de l’époque. Nous verrons dans la suite de notre Saga pourquoi j’ai pris ce parti. En tout cas rappelons que le forceps ne sera inventé que plusieurs siècles plus tard, il est donc assez peu probable qu’un certain Henri s’en soit servi à cette occasion. Frédéric Barberousse fit campagne en Italie à deux reprises, comme je le décris. Ses relations avec le pape Adrien sont également fidèlement rapportées. Il transforma le duché de Bohème en un royaume à la tête duquel il nomma son ami Vladislav. Je décris fidèlement les luttes que dut mener Guillaume de Sicile contre le pape et les Byzantins et la manière dont ces différents conflits se sont résolus.

En Terre sainte

J’ai décrit le supplice que Renaud de Châtillon infligea à Aimery de Limoges, tel qu’il est connu. Le patriarche ne s’est toutefois pas échappé comme je le rapporte. Renaud l’a finalement libéré devant l’indignation générale et sur l’insistance du roi Baudoin. C’est bien Aimery, réfugié à Jérusalem, qui mariera toutefois Baudoin et Théodora, pour la raison précisée dans le livre. Je n’ai pas non plus exagéré la dévastation de Chypre commise par Renaud et Thoros Le tremblement de terre qui dévasta la région à cette époque fut bien la catastrophe que je décris. Shaïzar fut totalement détruite et toute la famille des princes Munqidhite périt en cette occasion à l’exception d’Oussama qui était à Damas au moment du drame et d’une princesse qui était sur place mais ne se prénommait certainement pas Adalmode. Nur Ad-Din fut très malade pendant plus d’un an, et ses proches le crurent perdu, mais il survécut à ce mal, dont nous ne savons rien et que j’ai pris le parti de faire une pleurésie, sans qu’aucun médecin Chrétien ne vienne à son chevet. Le basileus Manuel, gracia bien Renaud de Châtillon, après qu’il se fut présenté à lui dans la tenue que je décris dans le livre et jeté par terre à ses pieds. Il obtint également la soumission de Thoros.

La famille

L’armure qu’invente les deux Gauvin, ne fit son apparition qu’un siècle plus tard. Parmi les filles de Baudouin II seule Melisende fut accusé d’avoir trompé son mari. Mais aucune relation coupable avec des Templiers ou des Hospitaliers ne fut rapportée à leur sujet. J’ai attribué des titres de sénéchal, connétable, sébaste, conseillers ou médecins des grands de ce monde aux membres de la famille des seigneurs de Chalus avec générosité. Les vrais titulaires de ces charges ne portaient pas ces nom-là et n’avaient probablement aucun ancêtre limousin. De même il n’y eu pas de Godefroy grand maître des Hospitaleirs, ni de Kérim maître des templiers par intérim.

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